Le Forum International de la Jeunesse à Ouagadougou (FIJAO) tiendra sa deuxième édition le 24 mai 2024 dans la Salle PSUT de l’université Joseph Ki-Zerbo à Ouagadougou. Les différentes articulations ont été dévoilées ce vendredi 17 mai 2024 à Ouagadougou, lors d’une conférence de presse.
L’événement, le plus attendu par la jeunesse africaine, ne déroge pas à la règle. Pour la deuxième fois, le FIJAO aura bel et bien lieu, avec plus de 1800 participants attendus, représentants de plus de 15 pays invités, 10 recommandations et 10 engagements.
« Défis et enjeux de l’intégration régionale en Afrique : contributions des jeunes leaders du continent » est la thématique sous laquelle se tiendra cette deuxième édition. Elle s’articulera autour de diverses activités, notamment une cérémonie d’ouverture, différentes communications et partages d’expériences, échanges et réseautage, prises de 10 engagements, adoption d’un document de plaidoyer en faveur de l’éducation et une cérémonie de clôture.
Plus spécifiquement, des panels thématiques animés par des experts et des personnalités renommées constitueront l’acmé de cette édition. Parmi les intervenants, on compte Thione Niang, l’international burkinabè Charles Kaboré et bien d’autres personnalités du continent.
Initialement prévue pour deux jours à la salle des banquets de Ouaga 2000, cette deuxième édition se tiendra finalement en une journée dans la PSUT de l’université Joseph Ki-Zerbo, en raison de la tenue des assises nationales.
Cependant, « le FIJAO reste le FIJAO, pas d’inquiétude. C’est juste le lieu qui change »,
rassure Billy Ouattara, président du comité national d’organisation.
Le Forum International de la Jeunesse à Ouagadougou est une initiative de l’association pour la promotion de l’intégration Africaine (APIA).
« C’est un cadre d’échange et de réflexion pour cette nouvelle jeunesse panafricaine dynamique et consciente des enjeux internationaux et géostratégiques de l’heure »,
précise Billy Ouattara.
Au lendemain de l’événement, se tiendra la finale du championnat de l’intégration entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso afin de renforcer les liens de fraternité entre Africains.
Désiré Sawadogo
